JEUNE CREATION NEWSLETTER SEPTEMBRE 2021

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NOUS SOMMES HEUREUX DE VOUS INVITER À NOS ÉVÉNEMENTS
DE LA RENTRÉE 2021 !

– CABANE GEORGINA
ÉVÉNEMENT NOMADE 71e FESTIVAL DE JEUNE CRÉATION –

Dans le cadre du 71e festival de Jeune Création l’exposition ABRAKADABRA comme des castors (9ème chapitre de la Saga de la Cabane Georgina) est visible jusqu’au 19 septembre 2021 à la Cabane Georgina à Marseille. L’exposition regroupe plus de 70 artistes de toutes générations et pratiques.

La Cabane est ouverte tous les jours entre 11h et 19h, de préférence informez de votre visite par message privé instagram, mail ou sms.
Plus d’informations ici

– ESPACE NIEMEYER
ÉVÉNEMENT NOMADE 71e FESTIVAL DE JEUNE CRÉATION –

Nous investissons pour la troisième année consécutive l’Espace Niemeyer avec l’exposition collective I SCREAM Ice CREAM pensée par Noam Alon et Nadiejda Hachami (du 2 au 24 septembre 2021). 

Le vernissage aura lieu le jeudi 2 septembre de 18h à 21h
(pass sanitaire obligatoire et réservation ici).

L’exposition présente les œuvres des artistes Méryll Ampe, Flora Bouteille, Elsa Brès, Tommaso Buldini, Tanguy Clerc, Marion Flament, Max Fouchy, Thomas Garnier, Pia Hinz, Judith Neunhâeuserer, Cassandre Langlois et Morgane Porcheron.

« I SCREAM Ice CREAM prend racine dans l’un des symboles les plus évidents et alarmants du réchauffement climatique – la fonte des glaces. Plusieurs courants de pensées, comme la collapsologie, utilisent cet évènement pour annoncer un avenir catastrophique. Cette image provoque un effet d’impuissance qui démobilise toute action politique, comme si nous vivions toutes et tous sur une « planète maudite ». Face à cela, nous essayons de nous rappeler que la glace qui revient à l’état liquide et fait remonter le niveau de l’océan est un phénomène faisant partie, au départ, d’un cycle organique essentiel. C’est son accélération impactée par l’humain qui est inquiétante. Pourtant, ici et avec les artistes, nous décidons de déplacer notre regard pessimiste pour appréhender l’environnement en pleine mutation artificielle comme le nouvel état naturel. Nous observons les transformations écologiques, non seulement comme des dégâts, mais comme des phénomènes riches et complexes,  dans lesquels réside une certaine subtilité magnétique à explorer.»

Plus d’informations sur l’exposition ici
 
Espace Niemeyer 
2 place du Colonel Fabien
75019 Paris 

Visuel: Judith Neunhausererer

– GALERIE JEUNE CRÉATION –

L’exposition collective Glad to Take Height and See the Slow Motion World, à la galerie Jeune Création est ouvrira le dimanche 12 septembre de 14h à 19h

« Glad to take height and see the slow motion world ». Ces paroles que j’emprunte, à deux mots près, au poète et musicien Gil Scott-Heron, je les détourne à mon usage pour qu’elles portent dans leur intensité poétique, tout le double sens qu’induit l’expression « prendre de la hauteur ». Au littéral, monter quelques marches et pouvoir apprécier par en haut le monde qui nous entoure ; au figuré, la formule s’emploie lorsque le besoin de prendre du recul sur une situation afin d’en saisir toute la mesure s’en fait sentir. Faire une pause donc, et changer de perspective, passer de l’horizontal au vertical, pour mieux constater ce qu’il se passe.

Mathilda Portoghese, commissaire de l’exposition

Une exposition de Mathilda Portoghese avec les artistes : Nadjib Ben Ali, Aïda Bruyère, Jérémie Danon, Rayane Mcirdi et Chalisée Naamani 

Galerie Jeune Création 
43 rue de la Commune de Paris
93230 Romainville 

Visuel: Nadjib Ben Ali, HC300MSKN004, feutres sur papier, 2021

– PRIX INDÉPENDANT / PARTENAIRE

 

Atelier Martel rouvre ses portes pour le finissage de l’exposition « Réunion de particules en corps solides », d’Hugo Deverchère, ce vendredi 3 septembre à partir de 18h.

L’installation, après trois mois d’existence, présente de nouveaux paysages surprenants, aboutissement des phénomènes de cristallisation, de sédimentation, et d’évaporation à l’œuvre.

À la recherche d’un archipel fantôme apparu sur des cartes marines européennes du XVe siècle, l’artiste a exploré pendant plusieurs mois différents milieux naturels évocateurs d’un ailleurs fantasmé. Des abords d’un fleuve étudié par les exobiologistes pour comprendre les possibles mécanismes d’apparition de la vie sur d’autres planètes jusqu’à un lac salé peuplé par une bactérie préhistorique qui sécrète un pigment rose. Cette exploration lui a permis de rassembler la matière visuelle et première de son travail : composés chimiques, organiques et minéraux du paysage.

Hugo Deverchère est le premier lauréat du prix Atelier Martel lors du festival annuel Jeune Création. Celui-ci comprend une exposition dans leur locaux ainsi que l’association du lauréat à l’équipe de maîtrise d’œuvre dans le cadre de la construction d’un bâtiment.

 

Atelier Martel 
8bis rue d’Annam, Paris 20ème 
Code 2679, à droite dans le hall, premier étage.

Pour tout renseignement merci de contacter
Adèle Roudot Colonna à cette adresse : ou à défaut la messagerie 06 59 41 86 39 / 09 63 20 87 57

– PRIX INDÉPENDANT / PARTENAIRE
 
Le salon MAD ouvre ses portes pour sa 6e édition les 10, 11 et 12 septembre 2021 dans l’espace de La Chaufferie à la fondation Fiminco à Romainville. Dans le cadre du prix MAD remis lors du festival Jeune Création, Julia Gault présentera des multiples et sa nouvelle édition « Si l’on abat si l’on bâtit », qui retrace l’exposition en duo pensée avec Raphaël Maman « L’énigme est de ne pas savoir si l’on abat si l’on bâtit » qui s’est tenue en octobre et novembre 2019 à l’espace Le Mur, à Moret-sur-Loing.

Si vous souhaitez soutenir le projet et précommander votre exemplaire, c’est ici.

Une discussion avec les artistes, suivie d’une signature, aura lieu dimanche 12 septembre après-midi. Vous pourrez y récupérer votre exemplaire.
 

 
À propos de l’exposition et de l’édition :
 
Dans cet ancien magasin de BTP, en plein coeur de la forêt de Fontainebleau, les deux artistes ont choisi de proposer un travail autour de la notion de chantier, lieu où les formes sont façonnées, où l’on construit les fondations avant l’ouvrage achevé. Le projet questionne la temporalité du chantier ainsi que l’état éphémère de la matière et mouvant des espaces. Les pièces présentées pendant les deux mois d’exposition avaient vocation à être modifiées, rejouées et mises en tension avec l’espace, articulée autour de trois actes quasi théâtraux.
 
Conçue par le graphiste et artiste Paul Dagorne, cette édition devient à son tour le théâtre où se déroulent les différents actes, où la temporalité, inhérente à leur projet, devient le fil conducteur, et où le lecteur peut, à son tour, déambuler entre les scènes.
 
Cet ouvrage, signé et numéroté, sera tiré à 100 exemplaires. Il sera composé de 96 pages imprimées en noir et blanc et en quadrichromie, au format 21 x 29,7 cm, et d’une couverture embossée aléatoirement. Ainsi chaque exemplaire sera unique.

Fondation Fiminco
43, rue de la commune de Paris
93230 Romainville

 

 

 

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